Avec en toile de fond, l'avenir du travail, l'auteur propose des éléments de réponses à la question : pourquoi ''nos temps modernes'' semblent-ils pires que ceux qu'ils ont remplacé alors qu'ils sont tout entiers nés des critiques qui leur avaient été adressées? Notre époque alors ne serait-elle pas caractérisée non pas par la fin du travail mais bien plutôt par le travail sans fin, non pas par la fin des valeurs publiques mais par la fin des relais (la famille...) qui les soudaient auparavant aux valeurs privées, non pas enfin et surtout par le capital financier mais par la capital humain?